samedi 26 février 2011

RECHERCHE DE PARTENAIRES DANS LE MONDE ENTIER

  Le plan d'affaires généré par le roman "LES GUERRIERS BANTOUS" est établi autour de quatre axes,nous recherchons:
-DES PRODUCTEURS qui feront de ce roman un film magnifique,le succès est garanti.
-DES EDITEURS qui assureront l'édition et la diffusion du livre dans plusieurs pays et la traduction en de nombreuses langues ,de même que la vente de cartes avec les poèmes (nous avons déja des propositions et en attendons d'autres).
-DES COMPOSITEURS  DE CHANSONS qui écriront à partir des différents poèmes de l'auteur.
-DES CHARGES DE COMMUNICATION dans différents pays qui auront pour tâche de rechercher tous ceux précités,de représenter et de défendre nos interets la où ils se trouvent.

CHAPITRE 1 : LA CONTREE MAGBE

            PRESENTATION DE LA SOCIETE MAGBE
   Depuis Égypte antique la contée Magbe située au cœur de la forêt équatoriale est restée fidèle à la tradition bien que légèrement ancrée dans le modernisme ; les vêtements, la scolarisation, l’importation de quelques produits, le transport. Leur mode de vie est resté profondément traditionnel : l’alimentation, l’éducation, les occupations journalières, la médecine. Leur alimentation est restée basée sur l’espérance en l’aide de l’Ancien des jours ;ils se nourrissent beaucoup plus de ce que la nature produit chaque saison :champignons, chenilles, fruits, poissons animaux et plantes. Les Magbe vivent en paix, ils constituent un peuple organisé ,le village est dirigé par le patriarche appelé Sage. Pour les fonctions administratives il y a une assemblée de notables(chefs de  cantons) qui forment un conseil présidé par la femme du Patriarche ,sa sœur ou sa mère s’il est célibataire. Elle est considérée comme représentant de la force matérielle du patriarche et appelée la  grande prêtresse ;assistée par douze conseillères, ses décisions sont suivies et respectées .Elle a la dernière décision sur les cultures à faire, l’organisation des récoltes ,l’éducation des enfants, la gestion économique de la contrée. Elle ne consulte le Sage sur ces problèmes qu’ en cas de situation grave.
   Le patriarche lui-même est le chef de la secte des chevaliers Ngue qui sont de puissants guerriers appelés Honorables. Les Ngue ont pour devoir de protéger la population, enseigner la chasse, la pêche et l’harmonie. Chaque Ngue est le responsable d’une école d’apprentis appelée Saï. Les apprentis Ngue sont appelés Simba.Le Saï a  trois degrés : les Simba,les Simba expérimentés et les apprentis Ngue.
   Il ya un comité d’anciens patriarches appelés Mbabock qui vit dans le monde invisible seul le patriarche peut le voir de temps en temps et converser avec eux.C’est ce comité qui ordonne un honorable Ngue au rang suprême de patriarche s’il juge que celui-ci a atteint une grande pureté de cœur.La secte des  chevaliers Ngue se prosternent devant l’arbre sacré qu’elle appelle le Guide car sa philosophie consiste à rechercher les vertus d’un arbre pour pouvoir devenir patriarche.
   Le patriarche a une belle construction auprès de l’arbre sacré il y vit paisiblement avec quelques Simba qui viennent l’aider à réaliser quelques petites tâches.
   La prêtresse a tout un grand coté luxueux de la concession du patriarche où elle vit avec des servantes et ses conseillères. Ce côté qui est séparé de celui du patriarche par une vaste cour. À une centaine de mètres de l’arbre se trouve une immense salle dans laquelle les différents notables se réunissent avec la grande prêtresse pour débattre des problèmes matériels de la contrée. Le patriarche y demeure pendant plusieurs années puis après un certain temps qui lui est indiqué par le comité des Mbabock il pénètre dans leur collège. Il devient inactif pour les choses du monde des hommes on ne le voit même plus. La prêtresse y reste quelques années pour gouverner le village elle forme une nouvelle grande prêtresse et devient sa conseillère.
   Les Saï sont des concessions des chevaliers Ngue qui comportent plusieurs cases le plus souvent entourées par une grande clôture dans lesquelles les Simba vivent ;certains parents y confient leurs enfants dès la tendre enfance toutefois si la famille n’est pas assez noble ,il n’est pas facile de se faire accepter dans un Saï. La plupart des enfants reçoivent l’éducation auprès de leur maman et dans les écoles de la contrée ,seul un petit nombre a le privilège de recevoir l’éducation d’un Saï. Les différents Saï communiquent à l’aide de tam-tams et de petits messages qu’ils gravent  sur des lames de planches. Toutes la journée des chevaliers Ngue est consacrée à la discipline et à la recherche d’un meilleur niveau de combat, ils se dévouent à la concentration, au tir à l’arc à l’entrainement au combat ,à la musique et à la méditation devant l’arbre sacré ;leur art martial s’appelle le Djock San qui signifie le suprême combat ;art ressemblant au Tai-chi, ils peuvent combattre à mains nues mais chaque honorable Ngue a une arme qui lui est spécifique. Ce peut être une lance ,un sabre, certains même en utilisent deux et d’autres une espèce de hache à double tranchant. Tous sont d’abord entrainés au combat avec des sabres quand ils sont encore des apprentis mais devenus honorable Ngue chacun se familiarise avec une arme de son choix ou même en fabrique une.

jeudi 24 février 2011

PAS A PAS

                LE 1ER CHAPITRE
                                               DU ROMAN SERA
                                                                          PUBLIE PROGRESSIVEMENT.        

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lundi 21 février 2011

INTRODUCTION DU ROMAN

                                            INTRODUCTION
      A la recherche de la philosophie Africaine qui a perdu ses traces en rompant avec sa tradition et la religion de ses ancêtres. J’ai été inspiré de créer cette histoire qui n’est pas réelle mais fictive, elle s’appuie sur des questions posées à des sages à travers le monde entier et sur des légendes Africaines racontant l’histoire des guerriers qui avaient le pouvoir de se téléporter à de grandes  distances et qui pouvaient seuls combattre tout un village. Il raconte l’histoire de la chevalerie Africaine qui comme vous allez le constater n’est pas loin de celle des chevaliers du Roi Arthur d’Angleterre ou des mousquetaires de France ou même des Samouraïs et des Ninjas du Japon. Elle n’est non plus loin des légendes chinoises que nous observons dans des films de Kung- Fu et du Tai-chi de l’acteur Jet LI par exemple. Elle est également rapprochée des légendes de justicier comme Zorro du Mexique qui avaient une liaison particulière avec mère Nature.
   Ceci est donc une contrée imaginaire qui serait restée fidèle à la tradition et un moyen de démontrer que nos ancêtres qui étaient totémistes et pratiquaient le culte des ancêtres croyaient aussi en un dieu omniprésent et omnipotent créateur de l’Univers(Ilolombi qui signifie l’ancien des jours) terme que l’on retrouve en Amérique Australe et dans plusieurs autres traditions de la terre .Le peuple ne comprenait pas leur philosophie et leur religion tout simplement parce qu’ils conservaient cela jalousement et ne réservaient ses enseignements qu’à un petit groupe très fermé.
    Je tiens à souligner une fois de plus que ceci n’est pas la réalité de la tradition Africaine mais juste une approche née de la déduction sur un accomplissement d’une profonde  étude de la caste guerrière dans le monde entier en général et des sociétés Africaines en particulier.